(Annulé)


 "Il est très difficile de produire une œuvre qui ne plaise à personne. On a toujours sa mère qui apprécie."
A. Pophtegme


Une heure avant la représentation, le spectateur est invité à parcourir l’Église des Célestins, à cerner l’espace et à agir sur les matériaux mêmes du spectacle à venir. Puis, pendant la représentation proprement dite, le public, installé sur un gradin dans la longueur de la nef, peut appréhender la structure complexe et complète de l'architecture. A côté, entre l'Église et le Cloître, on joue Le Songe d’une nuit d’été de Shakespeare (une mise en scène de Karl-Friedrich Gomez) dont on voit par moments des retours vidéo et dont on entend des bribes de musique ou des éclats de voix.

Un artiste contemporain, « content pour tous », Jill, plus ou moins le groupe Albert Pophtegme, squatte ce hors champ du théâtre pour réaliser en temps réel une installation éphémère, dont le principe est « que l’on peut tourner autour ».

Cet épisode, qui devait être créé au Festival d’Avignon 2003, n’a jamais été joué.





Installation du groupe Albert Pophtegme dans l’Église des Célestins : au centre, la serre de culture
Au mur, la tête d’âne, accessoire pour le Songe d’une nuit d'été mis en scène à côté par Karl-Friedrich Gomez



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